Comment La Conserverie Morbihannaise revolutionne le traitement des eaux usees en Bretagne
La Conserverie Morbihannaise transforme le paysage industriel breton avec son approche novatrice du traitement des eaux usées. Cette entreprise agroalimentaire s'inscrit dans une démarche environnementale ambitieuse, alliant performance économique et respect des ressources naturelles.
La Conserverie Morbihannaise : un acteur majeur de l'agroalimentaire breton
L'histoire de cette entreprise emblématique débute en 1942 à Lanvenegen. Elle s'affirme aujourd'hui comme un pilier de l'industrie agroalimentaire bretonne, avec une consommation annuelle comprise entre 350 000 et 420 000 m3 d'eau.
Une entreprise ancrée dans le territoire morbihannais
Implantée au cœur du Morbihan, la Conserverie Morbihannaise maintient des liens étroits avec son territoire. L'entreprise a investi près de 11 millions d'euros dans une station de traitement d'eau moderne, capable de traiter quotidiennement 2000 m3 d'effluents. Cette installation permet la réutilisation de 30% de l'eau pour le nettoyage et la transformation des légumes.
Les sites de production d'Aucy et Le Faouët
Les sites d'Aucy et Le Faouët constituent les principaux centres d'activité de l'entreprise. La station de purification, opérationnelle depuis un an, traite entre 400 et 600 m3 d'eau par jour. Cette modernisation a généré la création de deux emplois à temps plein pour assurer la gestion optimale des installations.
Une approche novatrice du traitement des eaux usées
La Conserverie Morbihannaise, établie depuis 1942 à Lanvenegen, transforme son impact environnemental avec un projet ambitieux de gestion des eaux usées. Cette entreprise du groupe Eureden, qui utilise entre 350 000 et 420 000 m³ d'eau annuellement, adopte une démarche écologique novatrice pour optimiser sa consommation d'eau.
La technologie des osmoseurs au service du traitement des effluents
L'usine a investi 10 millions d'euros dans une station de traitement ultramoderne, bénéficiant d'une subvention de 30% de l'Agence de l'eau Loire Bretagne. Cette installation, capable de traiter 2000 m³ d'eau quotidiennement, intègre des technologies avancées comme les osmoseurs. La station, opérationnelle depuis un an avec seulement 15 jours d'arrêt en décembre, nécessite deux employés à temps plein pour assurer son fonctionnement et le contrôle rigoureux de la qualité des rejets.
Un système de réutilisation des eaux traitées
Le système mis en place permet actuellement de réutiliser 30% de l'eau pour le nettoyage et la transformation des légumes, avec une perspective d'atteindre 40 à 50% dans le futur. Cette innovation génère une économie substantielle de 100 000 m³ d'eau habituellement prélevée dans le milieu naturel. La station de purification, traitant entre 400 et 600 m³ par jour, s'inscrit dans une stratégie globale incluant également la valorisation de 12 000 tonnes de coproduits végétaux annuels et la production de biogaz, couvrant 7 à 10% des besoins en gaz de l'usine.
Les acteurs clés du projet environnemental
La Conserverie Morbihannaise, établie depuis 1942 à Lanvenegen, mène une transformation majeure dans le traitement des eaux usées. Cette initiative remarquable s'inscrit dans une démarche de développement durable, avec un investissement significatif de 10 millions d'euros pour sa station de traitement, soutenue à 30% par l'Agence de l'eau Loire Bretagne.
Le rôle de Sébastien Brémond dans la transformation
Sous l'impulsion de Sébastien Brémond, la Conserverie Morbihannaise a mis en place une station de purification innovante, capable de traiter entre 400 et 600 m³ d'eau quotidiennement. Cette installation permet une réduction notable des prélèvements en milieu naturel, avec une économie annuelle de 100 000 m³ d'eau. La station assure désormais 30% des besoins en eau de l'usine, notamment pour le nettoyage et la transformation des légumes.
L'expertise de Ronan Quentel dans le déploiement
Ronan Quentel supervise l'application des technologies avancées dans le traitement des effluents. Son expertise a permis d'intégrer un système de méthanisation représentant un investissement d'un million d'euros. Cette installation traite 12 000 tonnes de coproduits végétaux annuellement et génère du biogaz couvrant 7 à 10% de la consommation en gaz de l'usine. La récupération de chaleur mise en place réduit les coûts de stérilisation de 15 à 20%, démontrant l'efficacité économique et environnementale du projet.
Les impacts positifs sur la production agricole
La Conserverie Morbihannaise, entreprise historique fondée en 1942 à Lanvenegen, transforme sa façon de produire grâce à des innovations majeures dans le traitement des eaux usées. Cette démarche s'inscrit dans une vision moderne de l'industrie agroalimentaire, associant performance économique et respect environnemental.
L'optimisation de la culture des légumes
La mise en place d'un système novateur de traitement des eaux permet à l'entreprise de réutiliser 30% de l'eau pour le nettoyage et la transformation des légumes. Cette avancée technique représente une économie substantielle de 100 000 m³ de captage en milieu naturel. L'objectif est d'atteindre une réutilisation de 40 à 50% dans les années à venir. La station de purification, dotée d'une capacité de traitement quotidienne de 2000 m³ d'eau, garantit une ressource constante pour la production.
La rentabilisation des investissements dans le traitement des eaux
L'investissement de 10 millions d'euros dans la station de traitement témoigne d'un engagement financier significatif, soutenu à 30% par l'Agence de l'eau Loire Bretagne. Cette installation traite entre 350 000 et 420 000 m³ d'eau par an. La démarche s'accompagne d'un volet social avec la création de deux emplois à temps plein pour la gestion de la station. La valorisation des déchets s'étend à la méthanisation, générant du biogaz qui couvre 7 à 10% de la consommation en gaz de l'usine. La récupération de chaleur permet une réduction des coûts de stérilisation de 15 à 20%.
L'avenir durable de la filière agroalimentaire bretonne
La Conserverie Morbihannaise, fleuron de l'industrie agroalimentaire bretonne créée en 1942 à Lanvenegen, transforme son empreinte environnementale. L'entreprise, membre du groupe Eureden, innove avec une station de traitement des eaux usées révolutionnaire, représentant un investissement de 10 millions d'euros. Cette initiative marque une étape majeure dans la modernisation industrielle du secteur.
La valorisation énergétique des déchets végétaux
Une installation de méthanisation, fruit d'un investissement d'un million d'euros, transforme 12 000 tonnes de coproduits végétaux annuels en biogaz. Cette production couvre 7 à 10% des besoins en gaz de l'usine. Le système intègre une récupération de chaleur innovante, diminuant les coûts de stérilisation de 15 à 20%. La station de purification traite quotidiennement entre 400 et 600 m³ d'eau, permettant une réutilisation optimale des ressources.
Les bénéfices économiques et environnementaux pour la région
L'usine, consommant initialement 350 000 m³ d'eau annuellement, réalise une économie substantielle de 100 000 m³ grâce à son système de réutilisation. La station, opérationnelle depuis un an, assure 30% des besoins en eau de l'usine, avec un objectif d'atteindre 40 à 50%. Cette initiative a généré deux emplois à temps plein pour la gestion des installations. L'Agence de l'eau Loire Bretagne soutient ce projet novateur en subventionnant 30% de l'investissement, soulignant son impact positif sur l'environnement régional.
Les innovations techniques pour une gestion responsable des ressources
La Conserverie Morbihannaise, établie depuis 1942 à Lanvenegen, transforme sa gestion des ressources par des solutions innovantes. Cette entreprise du groupe Eureden met en œuvre des technologies avancées pour le traitement et la réutilisation des eaux usées, avec des installations représentant un investissement de 10 millions d'euros.
Les installations modernes de purification
La station de traitement des eaux usées, équipée d'osmoseurs performants, traite quotidiennement 2000 m³ d'eau. Cette installation permet la réutilisation de 30% des eaux dans les processus de nettoyage et de transformation des légumes. L'entreprise vise une réutilisation de 40 à 50% dans les années à venir. Cette modernisation génère une économie substantielle de 100 000 m³ sur le captage en milieu naturel. La gestion de cette station nécessite deux emplois à temps plein, garantissant un contrôle rigoureux de la qualité des rejets.
La récupération thermique dans le processus industriel
L'usine intègre un système complet de valorisation énergétique. Une unité de méthanisation, représentant un investissement d'un million d'euros, transforme 12 000 tonnes de coproduits végétaux annuels en biogaz. Cette production couvre 7 à 10% des besoins en gaz de l'usine. La récupération de chaleur permet une réduction des coûts de stérilisation de 15 à 20%. L'entreprise planifie des investissements annuels de 500 000 à un million d'euros pour maintenir cette dynamique de modernisation industrielle.